La FAC est un lieu d’échanges et de partage pour les Présidents d’amicale et aussi un lieu d’émulation. Les membres de la FAC se réunissent 3 à 4 fois par an en organisant :
- Une rencontre festive (galette et animation musicale) ou théâtrale (Auvergne sur Seine) à Paris durant l’hiver
- Une rencontre l’été au Pays dans le Cantal avec des visites autour d’un thème précis
- Allanche, les Fromages AOP
- Thiezac, visite touristique de la Vallée de la Cère
- Murat « devoir de mémoire » en hommage aux déportés de la ville et aux résistants
- Condat avec Hommage à deux enfants du Pays le Président Georges POMPIDOU ainsi que le photographe Albert MONIER
- Des réunions des membres de la Fédération
La FAC permet de faciliter les relations avec
- La Ligue Auvergnate et du Massif Central regroupant les 7 départements d’Auvergne
- La Paroisse Cantalienne de l’Ile de France et le Père CHABAUD, notre aumônier émérite
- Les groupes folkloriques et les Fédérations Amies
- Le Crédit Agricole Centre-France avec l’antenne parisienne représentée par Benjamin BAYLET et Serge ROUSAIRE
- Les institutions cantaliennes du Pays
- Les sponsors en créant des sets de table
- Les CHR de la région francilienne
- Regroupe aussi ces dernières années les sympathisants et amis de Cantaliens
La FAC constitue un lieu indispensable avec tous les Auvergnats de la Capitale et un trait d’union avec nos compatriotes cantaliens et le Pays.
La FAC a pour devise
« Fier d’Aimer le Cantal, Faire Aimer le Cantal »
Cette association – qui fêtera ses 70 ans en 2020 – attend l’arrivée de la nouvelle génération pour apporter son enthousiasme, son savoir et sa compétence
Fier d’Aimer le Cantal, Faire Aimer le Cantal

PLUS Q’UN LOGEMENT : UN ACCUEIL AU COEUR DE PARIS
Charles Péguy voyait dans les pères de famille nombreuse les derniers aventuriers du monde moderne. A quelles dimensions cette aventure s’élargit-elle lorsque la paternité est spirituelle?

PAROISSE CANTALIENNE DE L’ILE DE FRANCE
Le chanoine François Marty est consacré évêque de Saint-Flour, le 1er mai 1952 ; déjà le chanoine Montarnal (originaire de Montsalvy), directeur diocésain de l’enseignement libre, rassemblait dans une association les « Amis de l’École Libre » et conviait bon nombre de ses adhérents cantaliens de Paris à diverses rencontres d’amitié et de prière à Ménilmontant d’abord, puis au sanctuaire de Montmartre, où la Cité du Sacré-Cceur accueillait, chaque année, une « kermesse »